
Ça sent la voiture neuve d’un homme qui n’explique rien.
Cuir chaud, ambre, patchouli.
La flamme se reflète sur le marbre comme un secret qu’on ne répète jamais.
Un parfum qui coûte cher, parce qu’il en a le droit.
Chaque flamme Luisance Privé est une déclaration de silence, de pouvoir et de beauté intemporelle.
Nous ne fabriquons pas des bougies. Nous créons des symboles de silence et de pouvoir. Nous refusons le bruit, nous méprisons le compromis. Luisance Privé ne cherche pas à séduire. Elle règne.
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté, / Luxe, calme et volupté. » — Baudelaire
Nous ne fabriquons pas des bougies. Nous créons des symboles de silence et de pouvoir.
Chaque flamme que nous allumons est une prière murmurée au luxe, à l’intemporalité, à l’art de ne rien devoir à personne. Nous refusons le bruit.
Nous méprisons le compromis.
Nous croyons en la lenteur, en la matière, en la main qui façonne.
Le parfum n’est pas ici un souvenir. Il est une domination. Un territoire olfactif réservé à ceux qui savent que le vrai luxe, c’est d’avoir le temps, la solitude, et le feu.
Luisance Privé ne cherche pas à séduire.
Elle règne.
Le luxe n’est pas ce que l’on montre, c’est ce que l’on ressent quand tout le monde se tait. Cire naturelle, mèche en bois, parfums de Grasse : chaque détail est une œuvre — inutile, donc essentielle.
« Le plus profond, c’est la peau. » — Paul Valéry
Tout commence par une idée simple : le luxe n’est pas ce que l’on montre, c’est ce que l’on ressent quand tout le monde se tait. Nos bougies sont façonnées une à une, dans le silence des ateliers européens. Chaque mèche, chaque gramme de cire naturelle, chaque note de parfum est pensée comme une œuvre. Inutile, donc essentielle.
Nous travaillons avec des artisans qui connaissent la lenteur, des parfumeurs qui comprennent la mémoire, et des mains qui ne trahissent jamais la matière.
Luisance Privé existe pour ceux qui ne veulent pas consommer, mais posséder.
Née en 2012 d’une obsession : créer une flamme qui ne s’éteint jamais vraiment. Coulées à la main en Europe, nos bougies portent un numéro, une odeur, une promesse : le feu a une mémoire.
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. » — Marcel Proust
Luisance est née en 2012, d’une obsession.
Celle de créer une bougie qui ne s’éteint jamais vraiment, même lorsque la flamme disparaît.
Fondée en Europe par une âme solitaire, Luisance est rapidement devenue un secret partagé entre esthètes, collectionneurs et rêveurs.
Nos premières créations étaient offertes, jamais vendues. Elles portaient un numéro, une odeur, et une promesse : que le feu pouvait devenir une expérience intime, presque spirituelle.
Aujourd’hui encore, chaque bougie est coulée à la main, en petites séries, avec des matériaux sourcés en Europe. Les parfums sont créés exclusivement pour Luisance Privé, à Grasse, à Florence, et parfois, dans des endroits qu’on ne nomme pas.
Ce n’est pas une marque.
C’est une maison de feu.
Et chaque flamme, une signature.

Ça sent la voiture neuve d’un homme qui n’explique rien.
Cuir chaud, ambre, patchouli.
La flamme se reflète sur le marbre comme un secret qu’on ne répète jamais.
Un parfum qui coûte cher, parce qu’il en a le droit.

Un jardin qui s’ouvre la nuit, uniquement pour ceux qui ont les clés.
La figue noire, les feuilles de chêne, une douceur presque interdite.
Un parfum qui ne cherche pas l’attention — il la prend.

Ce n’est pas une bougie, c’est un rite.
Oud, santal, encens.
La flamme danse lentement, comme si le temps lui appartenait.
Pour ceux qui ne prient pas — ils sont déjà des dieux.

L’or fondu, le cuir, le pouvoir.
Le safran brûle doucement, le labdanum enlace.
Un parfum qui n’appartient pas aux hommes, mais aux empires.

L’air tremble sous la chaleur de l’ambre.
La cire se fond comme le sable qu’on traverse seul.
Cette bougie sent la richesse qui ne parle jamais — elle brille.

Le froid, l’élégance, le contrôle.
La cassis sombre, le cèdre et la mousse — comme un costume taillé dans le silence.
Un parfum qui respire le pouvoir discret.

La pureté, sans innocence.
Iris, musc blanc, une trace de vanille de Madagascar.
Un luxe qui ne cherche pas à plaire — il existe.

Café noir, cardamome, fumée douce.
Le parfum d’une conversation qui n’aurait jamais dû avoir lieu.
La chaleur d’un regard qui sait déjà qu’il a gagné.

Pas une rose. Une arme.
Rose de Damas, poivre rose, oud.
Le parfum d’une femme qui ne s’excuse jamais.

Musc blanc, cèdre, lumière dans l’obscurité.
Un parfum sans genre — il a la force du silence après le plaisir.
Il reste, même quand il n’y a plus personne.

Métal noir, fumée, tabac, fève tonka.
Une bougie qui ne sent pas pour toi — elle sent comme toi.
Lourde, masculine, impitoyable. Un whisky dans l’âme du monde.

La nuit en verre.
Hibiscus, patchouli, thé noir.
Le luxe moderne : celui qu’on ne vend pas, qu’on possède.
Une bougie qui ne brille pas — elle règne.
Cire de soja bio, mèche en bois, parfums créés à Grasse. Aucune concession — seulement l’essence du luxe.
Bougies de massage, rituels de spa, lumière sensuelle — chaque flamme est une expérience.
Verre soufflé, bois noble, métal poli, céramique mate. Le contenant devient bijou.
Douze créations exclusives — du cuir ambré au bois sacré. Les essences parlent, le monde écoute.
Cire végétale bio et biodégradable & Mèche en bois naturel & Parfums élaborés à Grasse — Sans paraffine, sans phtalates.
Bougies de massage hypoallergéniques & Température douce & Spa, hôtellerie, cérémonies privées — L’expérience du feu au service du corps.
Verre & Bois & Métal & Céramique — textures nobles, finitions mates ou polies. L’objet devient héritage.

Cuir chaud, ambre, patchouli. La beauté coûteuse du silence. L’ambre vient de résines naturelles de la Baltique, travaillées lentement jusqu’à obtenir une chaleur douce et sensuelle. Les notes de cuir sont créées à partir d’extraits végétaux tannés naturellement, pour un accord charnel, solaire, presque humain.

Figue noire, feuilles de chêne — douceur interdite, élégance nocturne. La figue noire du Sud de la France, cueillie juste avant la tombée du jour, révèle sa profondeur à travers un macérat de feuilles de chêne et de mousse. Le bois de santal lie le tout en un parfum d’ombre et de silence.

Oud, santal, encens — plus qu’une bougie : un rite. Un oud rare, issu de plantations certifiées au Laos, marié au santal et à l’encens naturel. Le bois brûlé lentement dégage une fumée pure et spirituelle. Un rituel ancien distillé dans la modernité.

Safran, labdanum, mousse — l’or qui brûle lentement. Un cuir toscan tanné aux extraits végétaux, sans métaux, imprégné d’un safran pressé à froid. L’ensemble repose en fût de cèdre pour acquérir une patine dorée et métallique. La puissance du feu sous la main d’un artisan.

Un ambre chaud fusionné à la cire d’abeille et aux minéraux du sable nord-africain. Le parfum évoque la chaleur lente du jour et la lumière qui reste quand tout s’éteint — la richesse sans éclat, mais souveraine.

Des baies de cassis de Bourgogne, extraites à basse température pour préserver leur fraîcheur végétale. Un fond de mousse et de cèdre leur donne ce froid élégant, comme un costume sur mesure après la pluie.

L’iris toscan, mûri trois ans dans l’obscurité, se mêle à un musc blanc d’origine végétale. Une trace de vanille de Madagascar apporte la douceur juste — la pureté, mais sans innocence.

Du café noir du Yémen, torréfié à la main, mêlé à la cardamome d’Inde et à un soupçon de baume du Pérou. Le résultat : un souffle chaud, légèrement fumé, comme une conversation qu’on aurait dû oublier.

Une rose de Damas distillée à la vapeur, relevée de poivre rose de Madagascar et d’un oud indonésien. Ce n’est pas une fleur, c’est une arme. Une rose qui ne demande pas pardon.

Musc végétal et cèdre de l’Himalaya unis dans un accord de lumière suspendue. Le parfum mûrit en silence, sans artifice. Ni masculin, ni féminin : la force tranquille après le plaisir.

Feuilles de tabac cubaines vieillies avec la fève tonka et les bois brûlés. Les notes métalliques naissent du séchage naturel. C’est une senteur dense, inflexible — un whisky dans la peau du monde.

Fleurs d’hibiscus d’Afrique de l’Ouest séchées à l’ombre, mêlées au patchouli et au thé noir. L’équilibre entre minéral et floral crée un luxe moderne : silencieux, profond, souverain.
Bio & Non testé sur les animaux & Fabrication artisanale européenne & Traçabilité des matières & Emballages responsables
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